Pour lui, cela permettra d’alléger les souffrances de la population et de permettre à chacun de reprendre ses activités en toute liberté.Invité à l’émission Dialogue Entre Congolais de Radio Okapi, radio des Nations Unies (MONUSCO) en RDC, autour de la signature de la « déclaration de principes » pour un accord visant à promouvoir la paix et le développement économique dans la région des Grands Lacs, entre République démocratique du Congo et le #Rwanda, le vendredi dernier, afin de mettre fin au conflit qui ravage l’Est de la #RDC, il a fait part de ses préoccupations concernant la situation critique à l’Est de la RDC, où la fermeture des banques et des aéroports de Goma et Kavumu a plongé la population dans une profonde détresse.

Joseph Dunia craint que cette situation ne génère un ressentiment croissant envers le gouvernement, perçu comme abandonnant son peuple.

Pour lui, les priorités ne devraient pas être axées sur des accords commerciaux avec l’administration Trump ou le Rwanda, mais plutôt sur une diplomatie proactive qui appelle à un cessez-le-feu afin que les bruits des armes se taisent définitivement.

Cet acteur majeur de la société civile congolaise estime que l’urgence et la priorité est de négocier et conclure un accord de cessez le feu immédiat pour que les habitants de l’Est alimentent une opinion publique au gouvernement mais aussi ne pas être endormi par la simple déclaration de principe du 25 avril 2025 « parce que les États Unis et l’union européenne qui priorisent leurs intérêts et business n’ont pas à prendre des mesures, sanctions et directives sur les minerais extraits dans la terre de nos ancêtres comme bonheur ou comme malheur des guerres entre frères congolais ou de la région ».

Voici son intervention: https://www.facebook.com/share/v/19SZvUB8oc/?mibextid=wwXIfr